Je ne suis pas sûr de pouvoir un jour rattraper mon retard.
Ou alors je vais devoir faire de longue ellipse. Les cours ont en effet
désormais commencé et il me semble que je vais avoir pas mal de travail mine de
rien « JE SUIS PAS UNE MINE DE RIEN ! »
Bref, continuons continuons..! Le lendemain, le four que
devait nous prêter une connaissance d’Andy nous a été refusé et nous n’avons
pas pu réaliser notre projet. Nous l’avons donc reporté et A s’est lancé dans
l’organisation d’un dîner hot dogs / shot-gelée pour la soirée. Je me suis mis
de mon côté à faire...des crêpes ! Sauf que j’ai eu la fausse bonne idée
(mais oui ce sera plus sain !) de préparer la pâte avec de la farine
complète. Avec la merveille qui ser(vai)t de poêle dans l’auberge de jeunesse,
je vous raconte pas la difficulté pour les réussir. Mais bon ! Je me suis
accroché. Et ca a plutôt bien marché car je ne me suis pas forcé pour manger
celles qui n’avaient pas été dévorées.
La soirée a été la première de la formidable « familia
internazionale ». Nous sommes en effet allés festoyer avec Riguel (la
dueña de l’auberge de jeunesse), ses cousines, Francesca (une chilienne qui vit
ponctuellement au Mexique), Lucas et Mateo (deux italiens que j’espère bien
revoir un jour) Johnny, Francisco et Alejandro (trois Mexicains qui vivent à DF
et que je côtoie actuellement...ce dernier m’ayant offert un logis pour 4
semaines...SPOILER !). Certains d’entre vous auront pu voir des photos
postées sur facebook de nos différentes sorties. La première fût l’une des plus
folles et a malheureusement contraint Andy à dormir toute la journée du
lendemain.
Mais le restant de la troupe étant bien réveillé, Riguel
s’est fait un plaisir de nous emmener dans un restaurant de gastronomie
oaxaquennene, connu par les locaux. Nous sommes ensuite allés profiter de la
piscine et de l’océan.
Invité par plusieurs potes à réitérer ma cuisine, j’ai refait des crêpes pour le soir même, allant même jusqu’à les servir à la piscine de l’hostel, avant de ressortir pour une nuit tout aussi incroyable avec la même bande greffée de nouveaux membres : Mayra (une mexicalienne) et Felix (un barcelonais).
La gêne que j’avais ressentie la veille en vendant mes crêpes à mes nouveaux amis m’a empêché de continuer à en préparer. J’ai décidé de suivre cette joyeuse petite troupe en direction de Mazunte. Petite plage/village qui a lui gardé ce côté hippie qui m’a bien plu. Nous dormions sur les hauteurs de la plage avec vue sur l’océan dans des sortes de lits hamacs en plein air.
Au fur et à mesure que continuait le voyage à Zipolite, Huatulco et Puerto Angel, les membres de la « famille » devaient s’en aller vers des horizons différents. Jusqu’au jour où j’ai retrouvé mon statut de voyageur solitaire, restant quelques jours de plus à Puerto Angel pour profiter de l’océan et des formidables plongées !
Invité par plusieurs potes à réitérer ma cuisine, j’ai refait des crêpes pour le soir même, allant même jusqu’à les servir à la piscine de l’hostel, avant de ressortir pour une nuit tout aussi incroyable avec la même bande greffée de nouveaux membres : Mayra (une mexicalienne) et Felix (un barcelonais).
La gêne que j’avais ressentie la veille en vendant mes crêpes à mes nouveaux amis m’a empêché de continuer à en préparer. J’ai décidé de suivre cette joyeuse petite troupe en direction de Mazunte. Petite plage/village qui a lui gardé ce côté hippie qui m’a bien plu. Nous dormions sur les hauteurs de la plage avec vue sur l’océan dans des sortes de lits hamacs en plein air.
Au fur et à mesure que continuait le voyage à Zipolite, Huatulco et Puerto Angel, les membres de la « famille » devaient s’en aller vers des horizons différents. Jusqu’au jour où j’ai retrouvé mon statut de voyageur solitaire, restant quelques jours de plus à Puerto Angel pour profiter de l’océan et des formidables plongées !
Je tiens à vous parler d’un petit poisson qui m’a fait la
surprise de me suivre pendant une plongée de près de 50 minutes. Il était
jaune, d’environ 7cm avec 4 ou 5 fines rayures jaunes. Après l’avoir croisé à
près de 15m de la rive, nous sommes allés au large, nager autour de rochers où
de bien plus gros poissons que lui se trouvaient. Si les autres poissons ou les
remous, nous séparaient parfois pendant quelques minutes, il trouvait toujours
un moyen de me retrouver et de nager de nouveau avec moi. C’était assez
étrange. Je pouvais jouer avec lui et le faire glisser entre mes doigts,
augmenter considérablement mon rythme de nage afin de vérifier sa condition
physique (haha), plonger assez profondément – et il restait toujours à moins de
50cm. J’ai eu le cœur déchiré quand il m’a fallu le laisser à peu près à
l’endroit où nous avions commencé notre belle relation – courte mais intense,
avant d’être consolé de voir que je ne le laissais pas seul (un frère ?,
nous ayant rejoint sur les derniers mètres).
Les yeux remplis de souvenirs sous-marins, j’ai finalement
quitté la côte pour rejoindre San José del Pacifico dans la Sierra Sur
oaxaquennene. Ou comment perdre 15°C en l’espace de 3h. Au programme, cueillette
de champignons (j’ai eu la chance de trouver un beau cèpe malgré la relative
secheresse), balade en plein air et gastronomie oaxaquennene (qui est l’une des plus réputées au Mexique).
Après trois jours de repos, je suis reparti en stop vers la capitale de
l’Etat. Je sentais déjà mes pas se rapprocher de ma destination finale...
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